Petite
histoire des réseaux sociaux
Les réseaux
sociaux sont devenus une part intégrante de notre quotidien, mais leur histoire
est relativement récente et leur évolution a été rapide et spectaculaire. Voici
un aperçu de leur développement :
Les débuts
(années 1990)
Les premiers
réseaux sociaux sont apparus avec l'essor d'Internet dans les années 1990.
1995 :
Classmates.com - Fondé par Randy Conrads, ce site permettait aux utilisateurs
de retrouver et de se connecter avec d'anciens camarades de classe. C'était
l'un des premiers services à utiliser le concept de réseaux sociaux pour
reconnecter des personnes ayant des expériences partagées.
L'émergence
des pionniers (début des années 2000)
Le début des
années 2000 a vu l'émergence de plusieurs plateformes de réseaux sociaux qui
ont posé les bases des sites modernes.
2002 :
Friendster - L'un des premiers réseaux sociaux à gagner en popularité,
Friendster permettait aux utilisateurs de se connecter avec des amis et de
partager des contenus. Cependant, des problèmes techniques et de gestion ont
limité sa croissance.
2003 :
MySpace - Lancé par Tom Anderson et Chris DeWolfe, MySpace est rapidement
devenu l'un des réseaux sociaux les plus populaires, particulièrement auprès
des musiciens et des artistes. MySpace permettait une personnalisation poussée
des profils et la découverte de nouveaux amis par l'intermédiaire de leurs
connexions.
2003 :
LinkedIn - Fondé par Reid Hoffman, LinkedIn se distingue par son orientation
professionnelle. Il permet aux utilisateurs de créer des profils
professionnels, de se connecter avec des collègues et des employeurs
potentiels, et de partager des contenus liés à leur carrière.
L'âge d'or
des réseaux sociaux (milieu des années 2000 à 2010)
Cette
période a vu l'émergence de plateformes qui dominent encore aujourd'hui le
paysage des réseaux sociaux.
2004 :
Facebook - Fondé par Mark Zuckerberg, Facebook a initialement été conçu pour
les étudiants de l'université de Harvard avant de s'ouvrir à un public plus
large. Facebook a introduit des fonctionnalités innovantes comme le fil
d'actualité et a mis l'accent sur les vraies identités et les relations réelles,
ce qui a contribué à sa popularité massive.
2006 :
Twitter - Créé par Jack Dorsey, Noah Glass, Biz Stone et Evan Williams, Twitter
a introduit le concept de microblogging, permettant aux utilisateurs de publier
des messages courts (tweets) et de suivre les mises à jour d'autres
utilisateurs en temps réel.
La
diversification et l'expansion (années 2010)
Les années
2010 ont vu la diversification des réseaux sociaux avec l'émergence de
nouvelles plateformes spécialisées et la montée en puissance de certaines déjà
existantes.
2010 :
Instagram - Fondée par Kevin Systrom et Mike Krieger, Instagram est une
plateforme de partage de photos et de vidéos qui a gagné en popularité grâce à
ses filtres photo et son interface simple. En 2012, Facebook a acquis Instagram
pour un milliard de dollars.
2011 :
Snapchat - Créé par Evan Spiegel, Bobby Murphy et Reggie Brown, Snapchat est
connu pour ses messages éphémères qui disparaissent après leur visualisation,
ainsi que pour ses fonctionnalités de réalité augmentée et ses filtres.
2011 :
Google+ - Lancé par Google pour rivaliser avec Facebook, Google+ a intégré des
fonctionnalités comme les "cercles" pour la gestion des amis et des
intérêts. Malgré les efforts de Google, Google+ n'a jamais vraiment réussi à
s'imposer et a été fermé en 2019.
Les
tendances récentes (années 2020)
Les
dernières années ont vu l'essor de nouvelles plateformes et la consolidation de
géants des réseaux sociaux.
2016 :
TikTok - Développé par la société chinoise ByteDance, TikTok permet aux utilisateurs
de créer et de partager des vidéos courtes. Sa popularité a explosé grâce à ses
algorithmes de recommandation puissants et à son contenu viral.
Clubhouse -
Lancé en 2020, Clubhouse est une application de chat audio qui permet aux
utilisateurs de participer à des discussions en direct. Bien que son engouement
initial se soit atténué, il a inspiré de nombreuses autres plateformes à
intégrer des fonctionnalités de chat audio.
Conclusion
Les réseaux
sociaux ont évolué d'outils simples de connexion à des plateformes complexes
influençant la société, la politique et la culture mondiale. Avec l'essor de
nouvelles technologies comme la réalité augmentée et virtuelle, ainsi que
l'importance croissante de la protection des données et de la confidentialité,
l'avenir des réseaux sociaux promet d'être aussi dynamique que leur passé.
FLORILÈGE : La vie à contrecourant Par Gali Amidot
Les contrariétés de la vie, les mauvaises coïncidences et les épreuves inattendues font partie intégrante de l'expérience humaine. Bien que souvent difficiles à accepter et à surmonter, ces moments difficiles peuvent également être des opportunités de croissance personnelle et de développement.
Dans certaines traditions philosophiques et spirituelles, on considère que les défis de la vie sont des occasions d'apprentissage et de transformation. Ils nous invitent à réfléchir sur nous-mêmes, sur nos choix et nos priorités, et à développer des qualités telles que la résilience, la patience et la compassion.
Les
mauvaises coïncidences peuvent également nous amener à remettre en
question notre vision du monde et à adopter une perspective plus ouverte
et plus tolérante. Elles nous rappellent que la vie est imprévisible et
que nous ne pouvons pas toujours contrôler ce qui nous arrive, mais que
nous pouvons choisir comment réagir face à ces événements.
Il
est important de se souvenir que les moments difficiles ne définissent
pas notre valeur en tant que personnes. Ils font partie du voyage de la
vie et peuvent nous aider à devenir des individus plus forts, plus
compatissants et plus résilients.
En fin de compte, dans ce que nous pouvons considérer comme la vie à contrecourant, les contrariétés peuvent être perçues comme des occasions de croissance et d'évolution personnelle, même si elles peuvent être douloureuses à vivre sur le moment. En cultivant une attitude de gratitude, de résilience et d'acceptation, nous pouvons trouver la force nécessaire pour surmonter ces épreuves et continuer à avancer sur notre chemin.
L’Atlantide : Entre Mythe et Réalité
C’est le philosophe Platon qui, le premier, a évoqué ce lieu mythique qu’est l’Atlantide au 4e siècle avant Jésus-Christ. Celui qui est considéré comme l'un des plus grands philosophes de l'Antiquité y décrit une île gigantesque située près du détroit de Gibraltar, alors connu sous le nom de Colonnes d'Hercule. Dans ses dialogues, "Timée" et "Critias", Platon dépeint l'Atlantide comme une civilisation extrêmement avancée et florissante, dotée de richesses incroyables, de technologies sophistiquées et d'une puissance militaire redoutable. Selon lui, cette civilisation aurait disparu dans un mystérieux cataclysme, engloutie par les flots en un seul jour et une nuit terribles.
Pour certains, le récit de Platon est une simple légende, une allégorie philosophique destinée à illustrer les dangers de l'hubris et de la corruption morale. D’autres, cependant, croient que l’existence de cette île fabuleuse pourrait être fondée sur des faits réels. Les chercheurs et les historiens ont proposé diverses hypothèses pour tenter de localiser l'Atlantide. Une théorie populaire suggère qu’il pourrait s’agir de l’île grecque de Théra, aujourd'hui connue sous le nom de Santorin. Cette île a subi une éruption volcanique cataclysmique vers 1600 avant J.-C., qui a provoqué d'énormes tsunamis et a eu des conséquences dévastatrices pour les civilisations environnantes, notamment la civilisation minoenne.
Les recherches archéologiques sur Théra ont révélé une ville sophistiquée avec des structures complexes, des fresques colorées et des systèmes avancés de gestion de l'eau, ce qui correspond en partie aux descriptions de l'Atlantide par Platon. D’autres hypothèses placent l'Atlantide en divers endroits du globe, allant des Açores au sud de l’Espagne, en passant par la mer des Caraïbes. Chaque localisation propose ses propres preuves et arguments, mais aucune n’a encore pu être confirmée de manière définitive.
L’Atlantide continue de fasciner et d’inspirer l’imagination collective. Ce mythe antique a nourri des générations de chercheurs, d’écrivains et de rêveurs, qui y voient soit un avertissement contre les excès de la civilisation humaine, soit une quête pour retrouver un âge d'or perdu. Aujourd'hui encore, l'Atlantide demeure l'un des plus grands mystères de l'histoire et de l'archéologie, un symbole intemporel de la recherche humaine de vérité et de sens dans les profondeurs de notre passé.
Efficacité
Un
jour, un passeur dont le métier est de faire traverser le fleuve aux
gens avec sa barque, prend comme client un pédant. Ils conversent en
traversant et à un moment donné le passeur, analphabète, fait une
grossière faute de grammaire.
L’intellectuel lui dit "Mon ami, n'as-tu donc jamais appris la
grammaire? Tu as perdu la moitié de ta vie !"
Le
passeur continue à ramer tranquillement. Et, un moment plus tard,
sentant que quelque chose ne va pas, demande au grammairien :
"Honorable grammairien, avez-vous appris à nager ?"
"Non" répondit ce dernier. "Eh bien, vous avez perdu toute votre vie, parce que la barque coule !
Petite histoire du jeu d'échecs
Le
jeu d'échecs, souvent considéré comme l'un des jeux de stratégie les
plus raffinés et les plus complexes, possède une histoire riche qui
remonte à plusieurs siècles et traverse de nombreuses cultures et
civilisations.
Le
jeu d'échecs trouve ses origines en Inde, vers le VIe siècle. Le jeu
ancien, appelé "chaturanga," est considéré comme le précurseur des
échecs modernes. Chaturanga, qui signifie "quatre divisions"
(infanterie, cavalerie, éléphants et chars), se jouait sur un plateau de
8x8 cases. Ce jeu simulait les batailles de l'époque et impliquait
quatre joueurs.
Chaturanga
s'est ensuite répandu en Perse où il a été renommé "shatranj". Les
Perses ont apporté des modifications au jeu et ont popularisé le terme
"shah mat" (échec et mat), qui signifie "le roi est mort". À la suite de
la conquête de la Perse par les Arabes au VIIe siècle, shatranj a été
introduit dans le monde musulman, où il est devenu très populaire.
Les
échecs ont fait leur entrée en Europe par plusieurs voies, notamment
par l'Espagne et la Sicile, aux alentours du Xe siècle, grâce aux
interactions entre les cultures islamiques et européennes, notamment
lors des croisades et à travers le commerce. En Europe, le jeu a connu
de nombreuses adaptations. Au cours du Moyen Âge, les règles ont évolué
pour se rapprocher de celles que nous connaissons aujourd'hui.
C'est
vers la fin du XVe siècle, principalement en Espagne et en Italie, que
les règles modernes des échecs se sont consolidées. Les modifications
les plus notables incluent le pouvoir accru de la dame (anciennement
"fierce" ou "vizir") et la portée étendue des fous. Ces changements ont
rendu le jeu plus dynamique et plus rapide. Les règles modernes ont été
largement standardisées au XIXe siècle.
Au
XIXe siècle, les échecs ont commencé à être reconnus comme un sport
intellectuel. La première compétition internationale majeure a été le
tournoi de Londres en 1851, remporté par Adolf Anderssen. C'est aussi au
XIXe siècle que les premiers championnats du monde ont été organisés,
avec Wilhelm Steinitz reconnu comme le premier champion du monde
officiel en 1886.
L'ère
moderne des échecs a été marquée par l'introduction de l'informatique.
En 1997, l'ordinateur IBM Deep Blue a battu le champion du monde Garry
Kasparov, ce qui a marqué un tournant dans l'histoire du jeu.
Aujourd'hui, les moteurs d'échecs et les bases de données d'ouvertures
sont des outils indispensables pour les joueurs de haut niveau.
Les
échecs ont connu une résurgence notable de popularité ces dernières
années, en partie grâce à la série télévisée "Le Jeu de la Dame" (The
Queen's Gambit) et au développement des plateformes de jeu en ligne
comme Chess.com et Lichess. Ces plateformes ont rendu le jeu accessible à
un public mondial, permettant aux joueurs de tous niveaux de
s'affronter et d'apprendre.
L'histoire
des échecs est un témoignage de son attrait universel et de sa capacité
à s'adapter et à évoluer avec le temps. De ses débuts en Inde à son
statut actuel de sport mondial, les échecs continuent de fasciner et de
captiver des millions de personnes à travers le monde.
Petite
histoire des réseaux sociaux
Les réseaux
sociaux sont devenus une part intégrante de notre quotidien, mais leur histoire
est relativement récente et leur évolution a été rapide et spectaculaire. Voici
un aperçu de leur développement :
Les débuts
(années 1990)
Les premiers
réseaux sociaux sont apparus avec l'essor d'Internet dans les années 1990.
1995 :
Classmates.com - Fondé par Randy Conrads, ce site permettait aux utilisateurs
de retrouver et de se connecter avec d'anciens camarades de classe. C'était
l'un des premiers services à utiliser le concept de réseaux sociaux pour
reconnecter des personnes ayant des expériences partagées.
L'émergence
des pionniers (début des années 2000)
Le début des
années 2000 a vu l'émergence de plusieurs plateformes de réseaux sociaux qui
ont posé les bases des sites modernes.
2002 :
Friendster - L'un des premiers réseaux sociaux à gagner en popularité,
Friendster permettait aux utilisateurs de se connecter avec des amis et de
partager des contenus. Cependant, des problèmes techniques et de gestion ont
limité sa croissance.
2003 :
MySpace - Lancé par Tom Anderson et Chris DeWolfe, MySpace est rapidement
devenu l'un des réseaux sociaux les plus populaires, particulièrement auprès
des musiciens et des artistes. MySpace permettait une personnalisation poussée
des profils et la découverte de nouveaux amis par l'intermédiaire de leurs
connexions.
2003 :
LinkedIn - Fondé par Reid Hoffman, LinkedIn se distingue par son orientation
professionnelle. Il permet aux utilisateurs de créer des profils
professionnels, de se connecter avec des collègues et des employeurs
potentiels, et de partager des contenus liés à leur carrière.
L'âge d'or
des réseaux sociaux (milieu des années 2000 à 2010)
Cette
période a vu l'émergence de plateformes qui dominent encore aujourd'hui le
paysage des réseaux sociaux.
2004 :
Facebook - Fondé par Mark Zuckerberg, Facebook a initialement été conçu pour
les étudiants de l'université de Harvard avant de s'ouvrir à un public plus
large. Facebook a introduit des fonctionnalités innovantes comme le fil
d'actualité et a mis l'accent sur les vraies identités et les relations réelles,
ce qui a contribué à sa popularité massive.
2006 :
Twitter - Créé par Jack Dorsey, Noah Glass, Biz Stone et Evan Williams, Twitter
a introduit le concept de microblogging, permettant aux utilisateurs de publier
des messages courts (tweets) et de suivre les mises à jour d'autres
utilisateurs en temps réel.
La
diversification et l'expansion (années 2010)
Les années
2010 ont vu la diversification des réseaux sociaux avec l'émergence de
nouvelles plateformes spécialisées et la montée en puissance de certaines déjà
existantes.
2010 :
Instagram - Fondée par Kevin Systrom et Mike Krieger, Instagram est une
plateforme de partage de photos et de vidéos qui a gagné en popularité grâce à
ses filtres photo et son interface simple. En 2012, Facebook a acquis Instagram
pour un milliard de dollars.
2011 :
Snapchat - Créé par Evan Spiegel, Bobby Murphy et Reggie Brown, Snapchat est
connu pour ses messages éphémères qui disparaissent après leur visualisation,
ainsi que pour ses fonctionnalités de réalité augmentée et ses filtres.
2011 :
Google+ - Lancé par Google pour rivaliser avec Facebook, Google+ a intégré des
fonctionnalités comme les "cercles" pour la gestion des amis et des
intérêts. Malgré les efforts de Google, Google+ n'a jamais vraiment réussi à
s'imposer et a été fermé en 2019.
Les
tendances récentes (années 2020)
Les
dernières années ont vu l'essor de nouvelles plateformes et la consolidation de
géants des réseaux sociaux.
2016 :
TikTok - Développé par la société chinoise ByteDance, TikTok permet aux utilisateurs
de créer et de partager des vidéos courtes. Sa popularité a explosé grâce à ses
algorithmes de recommandation puissants et à son contenu viral.
Clubhouse -
Lancé en 2020, Clubhouse est une application de chat audio qui permet aux
utilisateurs de participer à des discussions en direct. Bien que son engouement
initial se soit atténué, il a inspiré de nombreuses autres plateformes à
intégrer des fonctionnalités de chat audio.
Conclusion
Les réseaux
sociaux ont évolué d'outils simples de connexion à des plateformes complexes
influençant la société, la politique et la culture mondiale. Avec l'essor de
nouvelles technologies comme la réalité augmentée et virtuelle, ainsi que
l'importance croissante de la protection des données et de la confidentialité,
l'avenir des réseaux sociaux promet d'être aussi dynamique que leur passé.
FLORILÈGE: MARCHANDAGE
-
Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements.
Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
-
Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH,
ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !
-
Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne
m'abaisserai pas à vous offrir seulement 160, ni même 180, Si vous me le
faites à 200, je le prends.
- Disons 210 et n'en parlons plus !
- Marché conclu !
FLORILÈGE : La vie à contrecourant Par Gali Amidot
Les contrariétés de la vie, les mauvaises coïncidences et les épreuves inattendues font partie intégrante de l'expérience humaine. Bien que souvent difficiles à accepter et à surmonter, ces moments difficiles peuvent également être des opportunités de croissance personnelle et de développement.
Dans certaines traditions philosophiques et spirituelles, on considère que les défis de la vie sont des occasions d'apprentissage et de transformation. Ils nous invitent à réfléchir sur nous-mêmes, sur nos choix et nos priorités, et à développer des qualités telles que la résilience, la patience et la compassion.
Les
mauvaises coïncidences peuvent également nous amener à remettre en
question notre vision du monde et à adopter une perspective plus ouverte
et plus tolérante. Elles nous rappellent que la vie est imprévisible et
que nous ne pouvons pas toujours contrôler ce qui nous arrive, mais que
nous pouvons choisir comment réagir face à ces événements.
Il
est important de se souvenir que les moments difficiles ne définissent
pas notre valeur en tant que personnes. Ils font partie du voyage de la
vie et peuvent nous aider à devenir des individus plus forts, plus
compatissants et plus résilients.
En fin de compte, dans ce que nous pouvons considérer comme la vie à contrecourant, les contrariétés peuvent être perçues comme des occasions de croissance et d'évolution personnelle, même si elles peuvent être douloureuses à vivre sur le moment. En cultivant une attitude de gratitude, de résilience et d'acceptation, nous pouvons trouver la force nécessaire pour surmonter ces épreuves et continuer à avancer sur notre chemin.
Petite introduction aux Web 1, 2 et 3 Par A.L
La première version du Web est aujourd'hui tombée en désuétude Web1 (ou 1.0) et il est admis de considérer qu’il a régné de 1993 jusqu'au début des années 2000. Le Web a pris son véritable essor en 1993 grâce à un logiciel développé par Marc Andreessen appelé « Mosaic ». Grâce à ce dernier, il est devenu possible de « naviguer » aisément sur le Web au travers d'une interface graphique/souris. Mosaic peut être considéré, à juste raison, comme l'ancêtre de Google Chrome, Firefox, Microsoft Edge et autres navigateurs tels que Safari ou Opera. Lire plus
Web 2.0 et
Web 3.0 sont des termes utilisés pour décrire différentes phases d'évolution
d'Internet et du World Wide Web. Voici une brève explication de chacun d'eux :
Le terme
"Web 2.0" a été popularisé au début des années 2000 pour décrire une
nouvelle génération d'applications web interactives et collaboratives. Il
représentait une évolution par rapport au Web 1.0, qui était principalement
statique avec des sites web affichant des informations de manière
unidirectionnelle.
Le Web 2.0
est caractérisé par l'émergence de sites et de services qui encouragent la
participation active des utilisateurs. Les utilisateurs ont commencé à créer,
partager et discuter du contenu en ligne. Les blogs, les wikis, les réseaux
sociaux, les forums et d'autres plateformes de partage de contenu sont des
exemples du Web 2.0. Les interfaces utilisateur ont également évolué pour
devenir plus conviviales et interactives.
L'évolution
vers le Web 2.0 a permis aux utilisateurs de contribuer activement au contenu,
créant une expérience web plus dynamique et sociale. La collaboration en ligne,
le partage de médias, les réseaux sociaux et la participation communautaire
sont devenus des éléments clés de cette ère.
Les réseaux
sociaux tels que Facebook, les plates-formes de partage de vidéos comme
YouTube, les blogs, les wikis, les forums et les applications de partage de
photos sont tous des exemples de domaines d'application du Web 2.0.
Le concept
de Web 3.0, parfois appelé le "Web sémantique", a émergé plus tard
pour décrire une nouvelle phase d'évolution du web, où l'accent est mis sur
l'intelligence artificielle, l'interopérabilité des données et une expérience
utilisateur plus personnalisée.
Le Web 3.0 vise à créer des environnements web plus intelligents, où les machines comprennent le contenu et les relations entre les données de manière plus sophistiquée. L'intelligence artificielle, les technologies de traitement du langage naturel et les ontologies sémantiques sont des composants clés du Web 3.0. L'objectif est de rendre les informations plus accessibles et interconnectées.
Le Web 3.0
cherche à surpasser les limitations du Web 2.0 en offrant des expériences plus
personnalisées, des systèmes plus intelligents capables de comprendre le
contexte et une meilleure intégration des données à l'échelle mondiale.
Le Web 3.0
est souvent associé à des domaines tels que l'intelligence artificielle, les
blockchains, les contrats intelligents, les assistants virtuels, l'Internet des
objets (IoT) et d'autres technologies émergentes.
Dans le sud-ouest du Kenya, les archéologues ont mis au jour de surprenants artefacts : des outils en pierre enfouis aux côtés d'homininés du genre Paranthropus, un ancêtre non humain de l'Homme. La découverte de ces outils dont l'âge pourrait dépasser les trois millions d'années apporte la preuve que les homininés non humains auraient maîtrisé le travail de la pierre. Cela suggère également que la conception d'outils intervint bien plus tôt dans l'histoire que les précédentes estimations. Les paranthropes possédaient une mâchoire avec des dents imposantes, c'est pourquoi les théories leur prêtant l'utilisation d'outils en pierre avaient en grande partie été rejetées jusqu'à présent, ces éléments étant perçus comme inutiles pour la transformation des aliments, comme l'expliquait National Geographic en février dernier 2023. La découverte semble avoir mis un terme à ces suppositions.
Marian Diamond a étudié le cerveau d'Albert Einstein -
C’est l’histoire d'une grande dame, une pionnière dans le domaine des neurosciences modernes, Marian Diamond, née en 1926 et décédée en 2017. Première femme docteure dans le département d’anatomie à l’université de Berkeley dans les années 1950, elle allait être à l’origine d’une véritable révolution scientifique.Lire plus
Elle allait établir, contre le dogme dominant que le cerveau change sensiblement durant la vie. On pensait que nos gènes déterminaient la structure de notre cerveau. Marian Diamond va prouver le contraire. Elle venait de découvrir, ce qui a été appelé, bien tard la neuroplasticité. D’éminents scientifiques ont par la suite confirmé cette théorie, notamment le professeur Norman Doidge.
Albert Einstein a été autopsié à sa mort et son cerveau a été préservé. Marian Diamond y a eu accès et a procédé à l’étude de certaines de ses parties. Les conclusions de cette expérience sont contenues dans l'article paru en 1985 intitulé "Sur le cerveau d'un scientifique: Albert Einstein". Ces conclusions ont abouti à une nouvelle approche sur le rôle desdites cellules gliales.
Un autobus emmène des politiciens à un congrès. L'autobus quitte la route et s'écrase contre un arbre dans le pré d'un vieil agriculteur. Le vieil agriculteur, après avoir vu ce qui s'est passé, se rend sur les lieux de l'accident. Il creuse alors un trou et enterre les politiciens. Quelques jours après, le shérif local passe sur la route, voit l'autobus écrasé, et demande à l'agriculteur où sont passés tous les politiciens. Le vieil agriculteur lui dit qu'il les a tous enterrés. Le shérif demande alors au vieil agriculteur, "Étaient-ils TOUS morts?"
Le Pape et son chauffeur
Après
avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la
limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le
trottoir.
–
Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous,
je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
–
Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le
faire aujourd’hui.
–
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela.
Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose
?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce
matin là.
– Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De
mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape
s’installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette
sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain
pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
–
Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez !, implore le
chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que
les sirènes de police retentissent.
– Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le
Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le
policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à
sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté
une limousine roulant à 140 km/h.
– Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
– Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important, dit le policier.
Le chef s’exclame : « Il n’y a pas de raison ! »
-« Non, je veux dire réellement important, dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c’est ! »
Le policier : « Je pense que c’est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ? »
Le policier : « Il a le Pape comme chauffeur… ! »
Après
avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la
limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le
trottoir.
–
Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous,
je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
–
Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le
faire aujourd’hui.
–
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela.
Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose
?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce
matin là.
– Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De
mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape
s’installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette
sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain
pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
–
Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez !, implore le
chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que
les sirènes de police retentissent.
– Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le
Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le
policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à
sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté
une limousine roulant à 140 km/h.
– Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
– Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important, dit le policier.
Le chef s’exclame : « Il n’y a pas de raison ! »
-« Non, je veux dire réellement important, dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c’est ! »
Le policier : « Je pense que c’est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ? »
Le policier : « Il a le Pape comme chauffeur… ! »
Re-bonjour les mammouths
Imaginez-vous,
il y a plusieurs milliers d'années, des mastodontes laineux sillonnant
les vastes étendues de l'Arctique, comme des gardiens colossaux des
glaces éternelles. Et maintenant, chers amis, préparez-vous à
l'étonnement le plus saisissant : des chercheurs ont l'audace de les
ramener à la vie !
Oui,
vous avez bien entendu ! Ces titans préhistoriques, disparus dans les
brumes du temps, pourraient bientôt fouler à nouveau la terre de
moins en moins gelée de l'Arctique. Et pourquoi ? Pour restaurer des
équilibres écologiques oubliés, pour défier le réchauffement climatique
lui-même !
Imaginez
le tableau surréaliste : des mastodontes laineux, ces créatures du
passé, travaillant en harmonie avec la nature pour préserver le
pergélisol, réguler la croissance végétale et maintenir un écosystème
propice à la vie. C'est une vision digne des plus grands rêves
scientifiques.
Mais
ce n'est pas tout ! Ce projet audacieux offre également une occasion
unique d'explorer les mystères génétiques, de plonger dans les secrets
de l'ADN des mastodontes pour comprendre ce qui les distinguait de leurs
cousins modernes, les éléphants d'Asie. Imaginez les découvertes
étonnantes qui pourraient émerger de cette étude !
Pourtant,
ce n'est pas sans controverse ni questionnement. La désextinction,
comme on l'appelle, soulève des débats enflammés sur les risques
imprévus, sur les ramifications éthiques de telles manipulations
génétiques à grande échelle. C'est une entreprise audacieuse, certes,
mais qui pose des questions fondamentales sur notre relation avec la
nature et les limites de notre pouvoir en tant qu'êtres humains.
Imaginez-vous,
il y a plusieurs milliers d'années, des mastodontes laineux sillonnant
les vastes étendues de l'Arctique, comme des gardiens colossaux des
glaces éternelles. Et maintenant, chers amis, préparez-vous à
l'étonnement le plus saisissant : des chercheurs ont l'audace de les
ramener à la vie !
Oui,
vous avez bien entendu ! Ces titans préhistoriques, disparus dans les
brumes du temps, pourraient bientôt fouler à nouveau la terre de
moins en moins gelée de l'Arctique. Et pourquoi ? Pour restaurer des
équilibres écologiques oubliés, pour défier le réchauffement climatique
lui-même !
Imaginez
le tableau surréaliste : des mastodontes laineux, ces créatures du
passé, travaillant en harmonie avec la nature pour préserver le
pergélisol, réguler la croissance végétale et maintenir un écosystème
propice à la vie. C'est une vision digne des plus grands rêves
scientifiques.
Mais
ce n'est pas tout ! Ce projet audacieux offre également une occasion
unique d'explorer les mystères génétiques, de plonger dans les secrets
de l'ADN des mastodontes pour comprendre ce qui les distinguait de leurs
cousins modernes, les éléphants d'Asie. Imaginez les découvertes
étonnantes qui pourraient émerger de cette étude !
Pourtant,
ce n'est pas sans controverse ni questionnement. La désextinction,
comme on l'appelle, soulève des débats enflammés sur les risques
imprévus, sur les ramifications éthiques de telles manipulations
génétiques à grande échelle. C'est une entreprise audacieuse, certes,
mais qui pose des questions fondamentales sur notre relation avec la
nature et les limites de notre pouvoir en tant qu'êtres humains.
WIFI
Dans
le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu'à 100m de profondeur,
les scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui
dataient d'environ 1000 ans.
Les Russes en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d'un réseau de fil de cuivre.
Les
Américains, pour faire bonne mesure, ont également procédé à des
fouilles dans leur sous-sol jusqu'à une profondeur de 2000m.
Ils y ont trouvé des restes de fibre de verre. Il s'est avéré qu'elles avaient environ 2000 ans.
Les
Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a
2000 ans d'un réseau de fibre de verre numérique. Et cela, 1000 ans
avant les Russes!
Une semaine plus tard, en Belgique publie le
communiqué suivant : "Suite à des fouilles dans le sous-sol belge
jusqu'à une profondeur de 5000m les scientifiques belges n'ont rien
trouvé du tout. Ils en concluent que les Anciens Belges disposaient déjà
il y a 5000 ans d'un réseau Wifi.
L’Atlantide : Entre Mythe et Réalité
C’est le philosophe Platon qui, le premier, a évoqué ce lieu mythique qu’est l’Atlantide au 4e siècle avant Jésus-Christ. Celui qui est considéré comme l'un des plus grands philosophes de l'Antiquité y décrit une île gigantesque située près du détroit de Gibraltar, alors connu sous le nom de Colonnes d'Hercule. Dans ses dialogues, "Timée" et "Critias", Platon dépeint l'Atlantide comme une civilisation extrêmement avancée et florissante, dotée de richesses incroyables, de technologies sophistiquées et d'une puissance militaire redoutable. Selon lui, cette civilisation aurait disparu dans un mystérieux cataclysme, engloutie par les flots en un seul jour et une nuit terribles.
Pour certains, le récit de Platon est une simple légende, une allégorie philosophique destinée à illustrer les dangers de l'hubris et de la corruption morale. D’autres, cependant, croient que l’existence de cette île fabuleuse pourrait être fondée sur des faits réels. Les chercheurs et les historiens ont proposé diverses hypothèses pour tenter de localiser l'Atlantide. Une théorie populaire suggère qu’il pourrait s’agir de l’île grecque de Théra, aujourd'hui connue sous le nom de Santorin. Cette île a subi une éruption volcanique cataclysmique vers 1600 avant J.-C., qui a provoqué d'énormes tsunamis et a eu des conséquences dévastatrices pour les civilisations environnantes, notamment la civilisation minoenne.
Les recherches archéologiques sur Théra ont révélé une ville sophistiquée avec des structures complexes, des fresques colorées et des systèmes avancés de gestion de l'eau, ce qui correspond en partie aux descriptions de l'Atlantide par Platon. D’autres hypothèses placent l'Atlantide en divers endroits du globe, allant des Açores au sud de l’Espagne, en passant par la mer des Caraïbes. Chaque localisation propose ses propres preuves et arguments, mais aucune n’a encore pu être confirmée de manière définitive.
L’Atlantide continue de fasciner et d’inspirer l’imagination collective. Ce mythe antique a nourri des générations de chercheurs, d’écrivains et de rêveurs, qui y voient soit un avertissement contre les excès de la civilisation humaine, soit une quête pour retrouver un âge d'or perdu. Aujourd'hui encore, l'Atlantide demeure l'un des plus grands mystères de l'histoire et de l'archéologie, un symbole intemporel de la recherche humaine de vérité et de sens dans les profondeurs de notre passé.
MARCHANDAGE-
Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements.
Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
-
Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH,
ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !
-
Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne
m'abaisserai pas à vous offrir seulement 160, ni même 180, Si vous me le
faites à 200, je le prends.
- Disons 210 et n'en parlons plus !
- Marché conclu !
Et ce que c'est agréable, à notre époque, de pouvoir faire ses achats sans être obligé de tout marchander
-
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L’humain au gré des croyances
La
perception du normal, du paranormal et des superstitions est
profondément ancrée dans la psyché humaine et varie considérablement
d'une culture à l'autre, ainsi que d'une personne à l'autre. Ces
concepts reflètent souvent notre besoin d'expliquer l'inexplicable et de
trouver du sens dans le chaos apparent du monde qui nous entoure.
Le
"normal" est généralement défini par ce qui est conforme aux attentes
ou aux normes établies par une société donnée à un moment donné.
Cependant, ce qui est considéré comme normal peut également être
influencé par des croyances culturelles et des préjugés. Par exemple,
certaines pratiques culturelles peuvent sembler "normales" dans un
contexte spécifique mais être perçues comme étranges ou inhabituelles
dans un autre.
Le
"paranormal", en revanche, se réfère à des phénomènes qui sont au-delà
de notre compréhension actuelle des lois de la nature ou qui semblent
défier les explications scientifiques conventionnelles. Cela peut
inclure des événements tels que les expériences paranormales, les
phénomènes psychiques, les rencontres avec des entités surnaturelles,
etc. Pour certains, le paranormal est simplement une manifestation de
notre ignorance actuelle et peut éventuellement être expliqué par la
science, tandis que pour d'autres, il représente des forces mystérieuses
au travail dans le monde.
Les
superstitions sont des croyances irrationnelles qui attribuent un
pouvoir surnaturel à certains objets, actions ou événements. Elles
peuvent inclure des pratiques telles que éviter de passer sous une
échelle, craindre le vendredi 13, ou croire que briser un miroir apporte
sept ans de malheur. Les superstitions sont souvent transmises
culturellement et peuvent avoir des racines historiques ou religieuses.
Quant
à la question de savoir si l'on doit attribuer les moments difficiles à
la malchance ou aux coïncidences, c'est une question complexe qui
dépend souvent de la perspective individuelle. Certaines personnes sont
enclines à voir des schémas là où il n'y en a pas, attribuant tout
événement malheureux à une série de malchances ou à des forces
surnaturelles. D'autres adoptent une perspective plus rationnelle,
considérant les revers de la vie comme des incidents aléatoires qui font
partie de l'expérience humaine.
En
fin de compte, notre perception du monde et de ses événements est
souvent façonnée par nos expériences personnelles, nos croyances
culturelles et nos attitudes envers l'incertitude. Certaines personnes
trouvent du réconfort dans les superstitions ou les croyances
paranormales, tandis que d'autres préfèrent s'en tenir à une vision plus
empirique du monde. L'important est de rester ouvert d'esprit,
d'examiner les preuves de manière critique et de respecter les
convictions des autres, même si elles diffèrent des nôtres.
Efficacité
Un
jour, un passeur dont le métier est de faire traverser le fleuve aux
gens avec sa barque, prend comme client un pédant. Ils conversent en
traversant et à un moment donné le passeur, analphabète, fait une
grossière faute de grammaire.
L’intellectuel lui dit "Mon ami, n'as-tu donc jamais appris la
grammaire? Tu as perdu la moitié de ta vie !"
Le
passeur continue à ramer tranquillement. Et, un moment plus tard,
sentant que quelque chose ne va pas, demande au grammairien :
"Honorable grammairien, avez-vous appris à nager ?"
"Non" répondit ce dernier. "Eh bien, vous avez perdu toute votre vie, parce que la barque coule !
Petite histoire du jeu d'échecs
Le
jeu d'échecs, souvent considéré comme l'un des jeux de stratégie les
plus raffinés et les plus complexes, possède une histoire riche qui
remonte à plusieurs siècles et traverse de nombreuses cultures et
civilisations.
Le
jeu d'échecs trouve ses origines en Inde, vers le VIe siècle. Le jeu
ancien, appelé "chaturanga," est considéré comme le précurseur des
échecs modernes. Chaturanga, qui signifie "quatre divisions"
(infanterie, cavalerie, éléphants et chars), se jouait sur un plateau de
8x8 cases. Ce jeu simulait les batailles de l'époque et impliquait
quatre joueurs.
Chaturanga
s'est ensuite répandu en Perse où il a été renommé "shatranj". Les
Perses ont apporté des modifications au jeu et ont popularisé le terme
"shah mat" (échec et mat), qui signifie "le roi est mort". À la suite de
la conquête de la Perse par les Arabes au VIIe siècle, shatranj a été
introduit dans le monde musulman, où il est devenu très populaire.
Les
échecs ont fait leur entrée en Europe par plusieurs voies, notamment
par l'Espagne et la Sicile, aux alentours du Xe siècle, grâce aux
interactions entre les cultures islamiques et européennes, notamment
lors des croisades et à travers le commerce. En Europe, le jeu a connu
de nombreuses adaptations. Au cours du Moyen Âge, les règles ont évolué
pour se rapprocher de celles que nous connaissons aujourd'hui.
C'est
vers la fin du XVe siècle, principalement en Espagne et en Italie, que
les règles modernes des échecs se sont consolidées. Les modifications
les plus notables incluent le pouvoir accru de la dame (anciennement
"fierce" ou "vizir") et la portée étendue des fous. Ces changements ont
rendu le jeu plus dynamique et plus rapide. Les règles modernes ont été
largement standardisées au XIXe siècle.
Au
XIXe siècle, les échecs ont commencé à être reconnus comme un sport
intellectuel. La première compétition internationale majeure a été le
tournoi de Londres en 1851, remporté par Adolf Anderssen. C'est aussi au
XIXe siècle que les premiers championnats du monde ont été organisés,
avec Wilhelm Steinitz reconnu comme le premier champion du monde
officiel en 1886.
L'ère
moderne des échecs a été marquée par l'introduction de l'informatique.
En 1997, l'ordinateur IBM Deep Blue a battu le champion du monde Garry
Kasparov, ce qui a marqué un tournant dans l'histoire du jeu.
Aujourd'hui, les moteurs d'échecs et les bases de données d'ouvertures
sont des outils indispensables pour les joueurs de haut niveau.
Les
échecs ont connu une résurgence notable de popularité ces dernières
années, en partie grâce à la série télévisée "Le Jeu de la Dame" (The
Queen's Gambit) et au développement des plateformes de jeu en ligne
comme Chess.com et Lichess. Ces plateformes ont rendu le jeu accessible à
un public mondial, permettant aux joueurs de tous niveaux de
s'affronter et d'apprendre.
L'histoire
des échecs est un témoignage de son attrait universel et de sa capacité
à s'adapter et à évoluer avec le temps. De ses débuts en Inde à son
statut actuel de sport mondial, les échecs continuent de fasciner et de
captiver des millions de personnes à travers le monde.
Perspicacité!
Sherlock Holmes et son assistant Watson faisaient une randonnée un jour dans les bois quand il a commencé à faire nuit.
Sherlock avait apporté le nécessaire pour faire du camping. Ils ont donc monté la tente et sont rentrés dedans.
Quelques heures plus tard : "Watson," dit Sherlock d'une voix pressée, "Watson, réveille-toi !"
Watson se réveille groggy et se frotte les yeux. « Qu'est-ce qu'il y a, Holmes. Il est tard."
Sherlock pointe vers le haut avec son doigt, étonné, et demande : « Que vois-tu, Watson ?
Watson
lève les yeux vers le ciel nocturne et examine le vaste vide qui
s'étend devant lui. Au bout d'un moment, sans détourner son regard du
ciel, il dit : « Eh bien, Holmes, je vois le ciel, noir parce que le
soleil est de l'autre côté de la Terre par rapport à nous. Parce qu'il
fait nuit et que nous sommes loin des lumières de la ville, je peux voir
des étoiles, des millions d'entre elles. Avec ces millions d'étoiles
là-bas, il est prudent de supposer qu'au moins un petit pourcentage
d'entre elles ont des planètes. De plus, Holmes, je crois que si un
pourcentage de ces étoiles a des planètes en orbite, il doit y avoir un
pourcentage de ces planètes qui sont similaires à la Terre dans
l'atmosphère. Si tel est le cas, j'ose dire qu'il y a des chances que la
vie existe là-bas dans l'espace, ce qui signifie qu'il y a presque zéro
pour cent de chances que nous soyons seuls dans l'univers.
« Non, Watson! » dit Sherlock, "Quelqu'un a volé notre tente !"
Le Pape et son chauffeur
Après
avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la
limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le
trottoir.
–
Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous,
je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
–
Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le
faire aujourd’hui.
–
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela.
Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose
?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce
matin là.
– Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De
mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape
s’installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette
sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain
pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
–
Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez !, implore le
chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que
les sirènes de police retentissent.
– Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le
Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le
policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à
sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté
une limousine roulant à 140 km/h.
– Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
– Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important, dit le policier.
Le chef s’exclame : « Il n’y a pas de raison ! »
-« Non, je veux dire réellement important, dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c’est ! »
Le policier : « Je pense que c’est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ? »
Le policier : « Il a le Pape comme chauffeur… ! »
FLORILÈGE
MARCHANDAGE
-
Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements.
Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
-
Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH,
ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !
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Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne
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Allégez (et sécurisez) votre ordinateur- Par A.L
Le thème de cet article est un peu particulier. Je tenais absolument à partager une découverte que j’ai faite. Il s’agit d’un logiciel pour PC qui a le don de remettre à neuf votre laptop ou autre ordinateur de bureau.
J’ai un peu hésité au départ à nommer l’application, pour ne pas passer pour quelqu’un qui fait de la publicité pour un produit. Mais j’ai tôt décidé de révéler l’identité de ce logiciel miracle. Il est en libre téléchargement, dans sa version gratuite qui est quand même « full ». Il s’agit, en l’occurrence, de SysHardener
Je viens de le découvrir pour moi-même, mais ceci ne veut pas dire que d’autres mordus d'informatique ne le connaissent déjà, voire, utilisent un autre outil de la même famille, tels Hardentools, Hard Configurator, ou OSArmor. Des centaines d'écritures sous-tendent le soft d’un PC. En faisant abstraction des applications de Windows ou de tout autre OS qui peuvent envoyer et recevoir des informations, même sans être utilisées et qui sont facilement gérables par le biais de la rubrique « Applications actives » dans Paramètres (Dans Windows 10 et 11), le danger réside dans la pléthore des fonctionnalités qui s’invitent en arrière-plan et que peuvent chevaucher les ransomwares, les spywares et autres chevaux de Troie.
SysHardener
se fait fort de repérer toutes les fonctionnalités en « back ground » :
extensions diverses, protocoles, scripts (Java et autres) et la liste
est longue, très longue. C’est à un nettoyage de fond que se livre
SysHardener. Du coup, l’ordinateur se retrouve allégé et même retrouve
une seconde jeunesse.
Il ne faut pas oublier de faire une sauvegarde avant de procéder au nettoyage de votre ordinateur, par mesure de protection. SysHardener se charge, par, ailleurs, de faire la sauvegarde, pour peu que vous daignez lui en donner l'ordre.
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